Devant l'Auberge

Vu que rein de trés concluent ne c'était passé dans l'auberge j'attendais dehors au cas ou si quelqu'un voulais m'accompagner pendant ce temp je m'était appuyé sur un tronc d'arbre.J'avais apercus quelque temp auparavant une caleche avec un pintacle retourné peut etre n'etessent que mon esprit,sinon quelque chose se passait tout prés d'ici

Le chevalier aperçu le guerrier qui avait l'air perplexe face à une calèche à l'allure suspecte.

"Bonjour, Sir Morial Le Juste, vous avez l'air, vous aussi, de trouver ce symbole plutôt étrange."

Vérifiant que les passagers du véhicule ne pouvaient pas entendre leur conversation.

"j'avais justement l'intention de la suivre dès qu'elle aurait quitté le village, si ceux sont des magiciens maléfiques ou des serviteurs du malin, je préfère ne pas faire courir de risque à la population. Et puis il serait intéressant de savoir où ils vont."

"je ferais de meme messire je vous suivrez en essayant de me faire discret un culte de ce style n'a pas lieu d'etre en ces temp ci ,je n'avais point revé ce symbole est réel"

je parlais en essayant de ne pas attirer l'attention

*Enfin quelqu'un de normal*

"Allez y je vous suis"

"Excusez moi d'etre impoli je m'appelle Bartolomius"

Au loin on appercevais maintenan deux personne sortant de la caleche les deux habillés en toge noir les recouvrant entierement et encore le meme symbole

Le conducteur de la sombre calèche prit place sur son siège et saisit les rennes des quatres chevaux noirs qui la tiraient.
il ne semblait pas y avoir de bagages, en effet aucun porte-bagages sur le toit ni à l'arrière et pourtant la calèche était recouverte de poussière comme celle que l'on accumule le long d'un très grand voyage.
Pas un hénissement de vint des chevaux quand le chauffeur d'attelage fit claquer les rennes sans prononcer les mots habituels "huuuuuuuuu..."

La calèche sortit du village et l'atmosphère s'en trouva moins pesante. Des oiseaux chantaient de nouveau dans les branches des arbres alentours.

Le chevalier avança rapidement sur les escaliers, vers l'écurie.

"Dépéchons nous, mon Destrier est déjà prêt dans l'écurie, vous pourrez monter derrière moi, il nous sera ainsi plus facile de les suivre."

Puis il se précipita à nouveau vers l'endroit où son destrier l'attendait, sa monture était arnachait et n'attendait plus que ses cavaliers.

Je suivais Sir Morial Le juste"

"esperon que nous arriverons a les suivre j'ai encore un gros pressentiment au sujet de cette caleche"

*enfin un aventure que vos la peine en plus c'est pour la bonne cause*

Ayant récupéré mes affaire j'étais maintenan installé deriere Sir Morial en essayant le moin de gener ses mouvement

Nos deux héros étaient maintenant à la poursuite d'une étrange équipée.
Et sans l'énorme monture du chevalier, ils en auraient été bien incapable. Même si la calèche n'avançait pas vite, elle était tout de même plus rapide que les pas humains surtout lorsqu'ils sont équipés d'armes et d'armures.
Le véhicule avança sur la route de Haven et il semblait ne pas vouloir s'arrêter avant d'y être arrivé.
Il y avait de gros nuages gris et épais dans le ciel, ce qui rendait le chemin sombre, et rendait l'ambiance de la route très étrange tout comme la calèche, d'où aucun son ne parvenait. Même les chevaux étaient encore restés silencieux.

En filature avec Bartélomius, derrière la calèche supecte, Sir morial avait l'impression de sentir le mal s'échapper de l'habitacle.

*J'aurais voulu l'arrêter immediatement pour enrailler le mal que contient cette calèche, si nous ne faisons pas erreur Bartolomius et moi. Mais il se serait encore mieux de découvrir l'entre de ces mécréants.*

"Il y a de l'eau dans la gourde attachée à la sel et de la nourriture dans mes sacoches, alors n'hésitez pas si vous avez besoin de quoi que ce soit pendant le voyage.
Je ne pense pas que nous ayons tord mais qu'elle est votre raison de vous donner tout ce mal pour les coincer et éventuellement les punir?
Moi, en tant que chevalier, je me dois de faire regnier l'ordre et la justice mais vous?"

"Chevalier je vous suivrez jusqu'à la mort mais il faudra tout dabors nous devrons anéantir ce culte"

En se remémorant son trajet pour arriver il se rapella qu'ils approchaient d'un montagne sans doute y avait il une montagne

"Nous devrions ralentir je crois qu'ils vont s'arreter dans pas longtemp".

*Esperons que je ne me trompe pas*

Nous chevauchions depuis longtemps, et l'allure de la calèche avait rarement changée.
Heureusement mon Destrier devrait être capable de nous porter tous les deux encore longtemps.

"Je souhaite que vous ayez raison Bartolomius, une pose nous ferait du bien. Mais quelque chose me dit qu'il y a un hic dans ce véhicule et qu'il ne réagira pas comme nous le pensons."

*il a l'air d'un compagnon loyal, allant jusqu'à se proposer de combattre jusque le mort elle-même pour moi.*

"Je ne désire pas que vous vous sacrifiez pour moi mon ami, s'il y a un danger mortel et que vous avez la possibilité de l'éviter en quittant un combat perdu d'avance, je vous demande de me laisser mourir avec honneur pour sauver votre vie."

Il y avait un long trajet jusque Haven, et cela faisait déjà longtemps que nos deux héros étaient en route sur le puissant Destrier. Heureusement que la puissant animal pouvait transporter de lourd charge sur de longues distances.

Le chevalier avait eut un bon pressentiment, alors que la calèche attaquait les routes en montées, elle ne s'arrêta pas le moins du monde. Elle continuerait sa route jusque Haven coute que coute. Cela relevé de l'impossible, car même si elle était tiré par quatre puissant chevaux noirs, il n'en restait pas moins qu'elle faisait son poids et que tout animal normalement constitué avait forcément besoin de repos à un moment ou à un autre.

Mais ça n'était pas le cas et après un trajet fort éprouvant, pour le Destrier comme pour ses cavaliers. Ils aperçurent dans le lointain se dessiner Haven, la destination hypothétique du convoi.

(Lien image)
Suite du scénario