Tass à la forge

Après bien des tours et des détours, vérifiant sans cesse qu'il n'était pas suivi et examinant au passage les poches des badauds qui croisaient sont chemin (on ne sait jamais, peut-être étaient-ce des espions!), Tass se faufila dans la forge de Théros.
Une vague de chaleur le frappa au visage. Au centre de la pièce, un immense feu, régulièrement alimenté et attisé à l'aide d'un gigantesque soufflet...*Ca doit-être amusant de faire fonctionner cet engin*... illuminait l'espace de sa lumière rougeatre, transformant l'acier en un liquide faisant penser à de la lave en fusion se déversant d'un volcan.

Debout devant son enclume, le forgeron martelait de sa force surhumaine un morceau de métal afin de le modeler selon ses désir.
Tass resta là, sans bouger, impressionné par le travail de Théros, et se demandant s'il pourrait essayer un jour. En cet instant, il avait oublié sa mission.

Théros Féral était entrain de fondre une pièce superbe, une épée courte qui serait certainement très utile pour la guerre qui approchée. Une foi forgée cette arme ferait surement la fierté de son porteur et son efficacité un adversaire redoutable.

Le métal s'écoulait dans le moule. La coulée étant parfaitement effectuée le forgeron commença à la marteler de son bras expert et puissant.

*Encore de coup à cet endroit précis, puis... Tient je ne suis pas seul! ...*

"Bonjour Tass, que me vaut le plaisir de ta visite, tu es encore venue pour me regarder battre le fer ou pour me rendre la pince que tu m'as emprunté?"

Le maître avait fort à faire et il était déjà extraordinaire qu'il puisse encore à cet instant crucial de la réalisation de son œuvre, alimenter la conversation avec le facétieux Kender. Mais Théros était de ceux dont le métier était une partie de lui et cela lui était donc possible.

Tass était si absorbé dans l'observation des étincelles qui jaillissaient à chaque coup de marteau, qu'il sursauta quand Théros lui parla. Il se ressaisit aussitôt et, d'un sourire innoçent (comme le sont d'ailleurs tous les kender, bien sûr):

"Une pince? De quoi me parles-tu? Tu aurais perdu une pince? Non, je ne l'ai pas vu mais, si tu veux, je peux t'aider à la chercher."

Et il commença à se promener dans la forge, furetant deci-delà à la découverte d'objets merveilleux qu'il pourrait admirer de plus près.
Il tomba alors sur une pièce d'armure qui lui fit penser qu'il devait avoir quelque chose à dire de très important à Théros.

*Qu'est-ce que ça peut bien être? Il me semblait pourtant que je devais lui confier un message... Mais quoi?... Ah oui!*

Il pivota brusquement vers le forgeron, entraînant malencontreusement dans son geste, un couteau à peine forgé qui "tomba" dans sa sacoche.

" Théros! J'ai quelque chose à te dire!"

Il se souvint soudain qu'il avait promis d'être discret, alors il baissa a voix:

"Un chevalier demande à te voir. Je pense qu'il veut réparer son épée qu'il a dû brisé, mais il ne veut pas qu'on le sache. Je pense qu'il doit avoir un peu honte."

Il réfléchit un instant, puis ajouta dans un souffle:

"Je crois qu'il s'appelle Sir Morial."

Théros ne vit pas la dague tomber dans le sac de Tass, et entre deux coups de marteaux.

"Un chevalier dis-tu? Mais je ne connais pas de Sir Morial, ..."

Il sembla réfléchir tout en battant le fer, puis en masquant sa voie derrière les bruits de forge:

"Aurait-il des amis? T'a-t-il donné le nom d'un autre chevalier de ses amis?"

Tass se gratta le menton et plissa son nez en signe de réflexion.

"Mmmm... Voyons... Je suis certain en tout cas qu'il doit avoir beaucoup d'amis, car il est très sympathique. Tu imagine? Il m'a invité à sa table sans même me connaître!"

Tass se remémora cet instant avec un air réjoui sur le visage. Puis, voyant que le forgeron attendait sa réponse, il chercha dans ses souvenirs.

"Je crois me rappeler maintenant... Il m'a parlé d'un Lord... Gou... Goute tard... Oui, c'est ça! Lord Goute tard!"

Le kender avait l'air heureux d'avoir trouvé le nom aussi vite, et sautilla de joie.

Le forgeron sursauta en comprenant que le Kender avait mal entendu le nom du Lord. En tout Théros supposa qu'il s'agissait en fait de Lord Gunthar, le général en chef des chevalier Solamnique.

Et cela le fit envisager le pire par ces temps si troublés, il décida de ne pas détromper Tass car les cecrets quengendrait un message privé de Lord Gunthar était d'une importance trop grave pour qu'un Kender vienne y mettre le bout de son nez.

*Quelle drôle d'idée d'avoir envoyer un Kender pour un message si important.*

"Ho! Et bien, si ce sir Morial veut me voir d'urgence aujourd'hui, dit lui que j'ai beaucoup de travail en ce moment et qu'il faudra qu'il passe ce soir après la tombée de la nuit quand j'aurais finit et fermé ma forge pour la journée, et surtout qu'il pas par la porte de derrière. J'oubliais ne voulant pas être dérangé par d'autres clients, qu'il tape 5 fois à la porte pour que je sache que c'est bien lui, ainsi je n'ouvrirais qu'aux personnes qui taperons les 5 coups."

Vérifiant qu'il avait bien l'attention du Kender qui avait l'habitude de furter partout pour être sûr qu'il avait bien tout compris:

"Merci Tass, et soit aussi discret que tu peux pour lui délivrer la réponse, je ne voudrais pas que d'autres personnes viennent m'ennuyer ce soir, je suis assez fatigué.
Pour ta gentillesse, tu pourras dire à Otik que je t'offre un verre sur mon compte.
Allez va vite et soit prudent."

Il paru étrange à Tass que Théros demande au chevalier de passer après la tombée de la nuit.

*On dirait qu'il me font des cachoteries, ces deux là. Mais faisont semblant de rien.*

Il avait, bien sûr quelque chose derrière la tête.

" Tu disais, à la tombée de la nuit, par la porte de derrière et taper 5 coups... C'est bien ça?"
fit-il, afin de ne rien oublier.

Puis, après avoir eu confirmation, il se faufila par la porte et partit aussi discrètement qu'il était venu afin d'avertir Sir Morial.

Après avoir patienté jusqu'à la tombée de la nuit en mangeant un repas en l'agréable compagnie de Tass. Je fis mine d'aller à l’écurie et je sortais par l'arrière pour aller le plus discrètement possible dans le noir, d'arbre en arbre, à l'arrière de la forge d'Otik.
Il avait du terminer tard, certainement en s’avançant sur son travail tout en attendant ma venue ca rune fumée blanche et encore épaisse sortait de la cheminée de forge prouvant qu'elle était encore en activité malgré l'heure tardive.
Je fis bien attention autour de moi, pour être sûr que personne ne faisait attention à moi et caché dans l'ombre du porche à l'arrière de la forge, je frappais les cinq coups convenues avec Théros Féral, selon les dires de Tass, qui m'avait brillamment servit de messager.

"Toc, toc, toc, toc, toc"

*Je vais enfin pouvoir remplir ma mission.*

Une petite voix aigue, à mille lieues de ce qu'on pourrait attendre lorsqu'un forgeron vous réponds, dit:
"Entrez, donc, chevalier."

Sir Morial s'exécuta.

Il vit pour la première fois l'atelier de celui qu'il devait rencontrer.

La forge était dans un état de propreté incroyable pour une forge: Aucun outil ne traînait, pas de morceau de métal à moitié ouvragé, pas de tablier de cuir pendouillant ici ou là. Même l'enclume était lustrée.

"Ne bougez plus, restez là ou vous êtes et écoutez-moi attentivement, reprit la petite voix"

Le chevalier pu la localiser près de la porte entrebaillé mais ne pu distinguer, à cause du contre-jour, qu'une silhouette fluette d'environ un mètre soixante-dix.

"Le forgeron que vous recherchait est entre nos mains. Un seul geste inconsidéré envers moi et il est mort. Si vous voulez le revoir vivant, je veux des renseignements sur la résistance de Solace et vous allez me les trouver."
la voix s'était durci et tentait de se faire impérieuse, elle énuméra:
" Je veux savoir où elle est? Quels sont ces effectifs? Quels sont ces membres éminents? Ces chefs? Je vous recontacterez et ne faîtes pas le malin ou votre ami est mort."

Malgré toutes les précautions que le chevalier avait pris pour être discret, comme de ne pas rentrer en contacte direct avec son interlocuteur, utiliser les services d'un Kender connut pour être loyal:
D'ailleurs n'était-ce pas lui qui l'avait trahis? N'était-ce pas sa voie? Qui d'autre était au courant à par ces deux autres compagnons de route?

Non, le chevalier ne se posait pas la question. Quand il accordé sa confiance, elle était total et il ne la reprenait pas. A aucun moment il n'aurait douté de ses compagnons.

Voilà plutôt ce qu'un vrai chevalier à en tête dans ce genre de situation:
*Mais qui est cette personne? Devrais-je lui faire confiance? Dois-je risquer de le laisser s'enfuir? Est-il seul? Est-ce lui le chef?*
Mais aussi:
* king

Où est mon épée? scratch

*

"Qui êtes vous et quelle assurance ai-je que vous tiendrez parole? Qu'est-ce que lui voulait au forgeron Théros Féral?
Et de quelle résistance vous me parlez, je viens juste de mettre les pieds en ville pour la première foi depuis moins d'une journée?"

Le chevalier regardait autour de lui pour trouver des indices pour l'aider sue la situation, tout en avançant avec précaution dans la forge pour avoir son dos, non pas vulnérable vers l'extérieur (où pourrait se trouver ses complices) mais dos à un mur, la main sur sa garde d'épée (sans montrer trop d'agressivité pour ne pas effaroucher son maître chanteur, qui avait encore des réponses à lui fournir avant que le chevalier n'accepte quoi que se soit), Il chercher surtout à distinguer des détails pour le reconnaître s'il le croisait ou l'entendait de nouveau.

*Gardons notre sang froid la vie d'un homme (important) est en jeu.*

"La confiance, cher chevalier, vous devez me faire confiance pour votre forgeron. Mais en tant que chevalier faire confiance, vous savez."

Morial qui tentait de repérer quelque chose vit un peu mieux la silhouette. L'individu face à lui était entièrement revêtu d'un habit noir. Il portait également une cagoule de même couleur. Rien de réellement remarquable en somme.
La voix avait un "je-ne-sais-quoi d'accent étranger", un peu sifflante peut être, ou un timbre plus chantant.
Une odeur de sueur, de cheval et d'humidité se dégageait de cette personne.

La voix lança: "Regardez donc sous l'enclume, vous y trouverez quelques réponses."

Puis la porte se ferma sur cet hôte étrange. Des bruits de pas précipités se firent entendre.

Le chevalier ne pouvait que laisser le torsionnaire s'enfuir. Il lui fallait plus analyser la situation avec réflexion, pas question de se lancer à l'aveuglette en poursuivant le bandit et mettre ainsi la vie du forgeron en danger.

Il prit bien soin de ne pas effacer les indices qu'un éventuel pisteur expérimenté pourrait relever pour lui permettre de remonter la psite du fuyard.
Tout en prenant ses précautions pour ne pas être pris par surprise, il se dirigea vers l'enclume, seul action raionnable à entreprendre dans l'immédiat pour commencer son enquête.

Devant l'enclume, il chercha les pièges éventuels du regard puis à taton ce que la voie lui avait dit qu'il trouverait sous l'enclume.

*Je trouverais sûrement un pisteur dans ce village forestier ou peut être pourrais-je faire appelle au connaissances sur ce talent inné que possède les Kenders en matière de furetivité.
Mais pour l'heure, concentrons notre attention sur les danger que recèle peut-être cette enclume.*

Tass, qui avait suivi Sir Morial quand celui-ci s'était absenté de l'auberge (non sans enfourner une grosse bouchée de pain qu'il eu le plus grand mal à avaler en le pistant), assista également à la scène. Il fut tout retourné en apprenant l'enlèvement du forgeron et, dès qu'il fut certain que le ravisseur était parti, il se précipita dans la forge.

"Sir Morial! Que c'est-il passé! C'est affreux!"

Le chevalier était en train de s'approcher de l'enclume avec précaution.

Le discret, ou plutôt l'indiscret petit homme avait apparemment entendu la conversation avec le malfrat et le chevalier ne pouvait donc nier quoi que ce soit, le mensonge lui étant de toutes les façons interdit.

*J'avais justement besoin d'un spécialiste dans ce genre d'affaires.*

"Vous tombez bien mon jeune ami, il semble en effet que Théros était enlevé, mais pour sa sécurité, il faut que cela reste entre nous. Je vous expliquerais plus tard les raisons pour lesquels il aurait pu être enlevé mais pour l'heure cette enclume et censée recéler des indice sur l'enlèvement de Théros mais vu à qui nous avons à faire je crains qu'elle soit piégé."

Faisant un pas en arrière:
"Avez vous l'habitude des pièges et voudriez*vous y jeter un œil?"

Tass bomba le torse et offrit un grand sourire au chevalier.

"Vous avez devant vous le kender qu'il vous faut, Sir Morial!"

Aussitôt, il se mit au travail: se mettant à quatre pattes, il commença à scruter le sol et les alentours en avançant petit à petit, exagérant ses précautions afin de bien montrer son professionalisme à Sir Morial.

Le chevalier laissa passer le courageux petit pickpocket. Et le regarda dans ses œuvres précises et habiles. Ce n'est pas qu'il voulait laisser prendre les risques à un autre, bien au contraire s’il avait les compétences en ce domaine, il n'aurait laissé nul autre que lui prendre des risques. Mais il ne connaissait rien aux pièges et ne voulait pas risquer d’endommager les indices laissé sous l'enclume. Alors il devait se contenter d'être là, prêt de Tass, et il le pouvait se jeter pour protéger de son corps armuré celui du kender en cas de danger.

"Merci mon jeune ami, je vous fais confiance et au moindre danger, je vous en conjure, ne prenez as de risque inutile."

*Ce jeune homme est vraiment plein de courage et altruiste : il vient de gagner mon respect et mon amitié.*

Tass se rendit, en fait, vite compte que l'enclume ne recelait aucun danger. D'ailleurs, elle n'avait sans doute pas été bougée depuis longtemps. De plus, vu son poids, il aurait fallu plusieurs personnes pour la déplacer.
Peut-être Sir Morial arriverait-il à la faire glisser sur le sol mais il n'y avait aucune chance de trouver quoique ce soit en dessous.
Le kidnappeur, maître-chanteur, avait sans doute lançait les paroles concernant l'enclume pour se laissait le temps de filer sans être suivi.

Tass, arrivé près de l'enclume, se releva, déçu d'être arrivé sans embûches à destination. Il se tourna et dit au chevalier d'une voix un peu boudeuse:

"Il n'y a rien a craindre, Sir Morial. Mais, par contre, je ne vois rien qui pourrait vous aider. Venez voir par vous-même."

Le chevalier s'approcha du Kender et de l'enclume, d’un pas décidé presque en colère, il saisie l’enclume et s’acharna de toutes ses forces pour la faire glisser.

*Une petite voie m’avez pourtant avertie que ce n’était qu’une ruse.*

« Tass notre kidnappeur à surement du laissé des traces peu tu jeter un œil. »

Le chevalier se rappela des mots du truand.

« Sais-tu quelque chose à propos d’une résistance à Solace, Car c’est apparemment ce qu’il cherche et puisqu’ils les cherchent. Ils seront surement intéressés de savoir qu’on les traque sans vergogne et peut être nous apporteront-ils leur aide pour sauver l’un des piliers de leur village : le forgeron. »

*Qui sait peut-être que Théros faisait parti de cette résistance ? Oui, tout comme l’aide qu’ils nous apportent, s’il y a une résistance à produire dans ce village, il y est surement pour quelque chose.*

Tass réfléchit à toute vitesse.

*Ce chevalier me plait bien, pour sûr. Mais la résistance doit rester secrète et je ne peux prendre aucun risque. Que faire?*

Soudain, le kender eut un trait de génie.

*Je sais qui prévenir! Et cette personne saura certainement quoi faire!*

"Ecoutez-moi, Sir Morial. Il faut que je vous laisse un instant. Pouvez-vous m'attendre ici? Je vous promet de faire vite."

Tass était déjà près à bondir hors de la forge afin de prévenir qui de droit du rapt de Théros, mais il attendait la réponse du chevalier.

Le chevalier ne prit pas la peine de discuter, il avait confiance en Tas est plus vite les gens concernés seraient au courant, plus vite ils pourraient prendre les mesure qui s'imposent.

"Vas vite Tass, je t’attends ici, je vais chercher des indices en t'attendant."

Le chevalier n'avait nullement l'intention de mettre son nez dans les petites affaires de Théros Féral, mais au vu de la situation, il lui fallait des indices et il n'avait pas le chois.
Alors il se mit en quêtes de la moindre trace ou objet suspect.

La maison était dans un état de propreté incroyable, surtout si l'on considère que c'est un forgeron célibataire qui vit ici.
Le réflexe de Sir Morial de chercher des traces fut, à priori, un bon réflexe.
En effet, les bottes du ravisseur devaient être crottées et elles avaient laissé sur le sol des petits morceaux de terre boueuse, morceaux facile à repérer vu l'état du sol.

Cette boue était collante, constituée d'une terre un peu glaise. Pas de la terre que l'on trouve partout, une terre particulière.

D'ailleurs, ici, le temps était sec depuis deux, trois jours.

La maison, constituée d'une seule pièce ( si l'on excepte l'atelier d'où venait le chevalier) , était d'un confort relativement spartiate.
Une table ronde en bois au centre de la pièce, un buffet ouvragé, un petit secrétaire quelconque, un lit et une armoire massive meublaient la pièce en plus de quelques chaises.
La surprise tenait à l'absence de cuisine et de pièce d'abblution.

Le chevalier n'avait nullement l'intention de poursuivre plus avant ses recherches en fouillant les armoires ou les tiroirs de Théros Féral ou d’ailleurs le chevalier ne pensait pas que cette recherche indiscrète le mènerait à grand-chose.
Le chevalier prit soins de ne pas effacer les traces laissées par le maître-chanteur. Mais il sortit un mouchoir et ramassa un morceau de tourbe pour l’analyser plus tard.

*J’espère que Tass reviendra vite et qu’il aura avec lui un pisteur pour nous aider à suivre ces traces correctement, quoi qu’il arrive je l’attend et s’il le faut nous les suivrons à deux.*

Une bonne heure plus tard...

Tass entra dans la forge en trottinant, les yeux encore rouges d'avoir pleuré. A sa suite, un homme massif et armé d'un arc pénétra à son tour.
Le kender fit les présentations:

"Voici Sir Morial, le chevalier qui connaît ton ami "Goûte Tard". Sir Morial, je vous présente Rodrigue. Il veut discuter avec toi."

Sur ce, Tass laissa les deux hommes s'entretenir, et entrepris de faire l'inspection de la forge: "Au cas où le kidnappeur aurait laissé un indice."

Tass en qui le chevalier avait une totale confiance revient dans la forge accompagné d'un homme des bois armé.
Le chevalier avait finit ses investigations et ne comptait pas freiner les initiatives du Kender expert en la matière, il reporta donc toute son attention vers l’inconnu du nom de Rodrigue.

*Il ne me semble pas très sociable au première abord mais puisque Tass l’a amené ici suite en l’enlèvement. Il doit surement faire partie de la résistance.*

« Bonsoir monsieur Rodrigue, Je suis Sir Morial le Juste, chevalier solamnique. J’avais une affaire privée à régler avec Théros Féral .Quand cette homme m’a en effet menacé la vie du forgeron si je ne lui donnais pas de renseignement sur la résistance. C’est pourquoi, Tass est venu vous voir car je souhaite délivré Théros mais sans aide et aucune connaissance sur la résistance de ce village. Je ne suis pas en mesure de négocier au mieux sa libération.
Avez-vous déjà une piste sur la personne qui chercherait en ce moment des informations vous concernant ? Car je suppose que vous avez un rapport avec la résistance sinon Tass ne vous aurait pas amené à moi en ces lieux, théâtre d’un drame qui ne concerne qu’un petit nombre restreint d’individus ? »

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